Framapetitions

Un service de pétitions qui vous respecte

Framapétitions est ouvert

Le service Framapétitions étant désormais officiellement ouvert, les inscriptions sur ce service de test sont désormais fermées. Ce service de test sera complètement fermé dans les prochains mois. Merci à toutes les personnes l'ayant expérimenté !

Limitations

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Dernières pétitions publiées

La Préfecture doit enfin sortir du silence face à l’explosion du nombre de personnes à la rue en Loire-Atlantique

Nous, associations, collectifs, organisations syndicales, citoyen·nes engagé·es ou accompagnant·es de personnes à la rue, élu·es de Loire-Atlantique, demandons à Monsieur Fabrice Rigoulet-Roze, Préfet de Loire-Atlantique, de sortir enfin du silence face aux nombreuses alertes que nous lui faisons parvenir depuis des années sur la situation urgente des personnes sans logement digne et d’assumer l’illégalité des politiques menées par ses services dans notre département. Il est urgent d’obtenir enfin les chiffres mis à jour de l’état du nombre de personnes sans logement digne dans notre département : nombre de places d’hébergement à disposition, budget alloué à l’accueil des personnes à la rue, nombre d’appels enregistrés par le 115 ayant donné lieu ou non à une solution d’hébergement, nombre d’adultes et d’enfants recensés à la rue. Il est de la responsabilité du Préfet d’activer son droit de réquisition temporaire de logements vacants, en vertu des articles L.641-1 et suiv. du Code de la construction et de l’habitation. Ces logements disponibles sont au nombre de 42.000 en Loire-Atlantique, dont 17.000 à Nantes, et sont un puissant levier activable par l’Etat pour enfin sortir de l’illégalité de la non-application des lois DALO et DAHO et mettre à l’abri les milliers de personnes à la …

Lettre ouverte pour une liberté d’expression solidaire, une cohérence éthique et le respect du droit dans les institutions culturelles

Genève, le 13 novembre 2025 À l’attentionde la Direction de l’Orchestre de la Suisse Romande (OSR) du Conseil de Fondation de l’Orchestre de la Suisse Romande (OSR) de M. Thierry Apothéloz, Conseiller d’Etat en charge du DCSdu Service cantonal de la culture de la République et Canton de Genève de Mme Joëlle Bertossa, Conseillère administrative en charge du DCTN du Service culturel de la ville de Genève de l’Office fédéral de la culture Objet : Soutien à l’artiste licenciée avec effet immédiat par l’Orchestre de la Suisse Romande (OSR) le 10 novembre 2025 et appel à la responsabilité éthique des institutions culturelles Nous, institutions, associations et personnes signataires, exprimons notre profonde préoccupation à la suite du licenciement immédiat d’une employée engagée ponctuellement par l’Orchestre de la Suisse Romande (OSR) comme narratrice dans le spectacle “Léna et l’orchestre enchanté”. Ce licenciement est survenu sans avertissement préalable, après que la narratrice a salué le public, à l’issue de la représentation du samedi 8 novembre, un keffieh sur les épaules en guise de châle. Cette sanction a, par ailleurs, eu pour effet de priver l’artiste des rémunérations contractuellement prévues pour les deux représentations encore à venir. Ce geste, accompli pacifiquement à l’issue d’une …

Sous-traitance, maltraitance et non-sens économique !

L’Université Lumière Lyon 2 vient de voter un budget austéritaire. Une des conséquences annoncées en est « l’externalisation » d’une partie des fonctions supports de l’université. Le ménage et les espaces verts, voire d’autres fonctions encore, sont donc appelées à être sous-traitées au nom d’un « recentrage » sur le cœur de métier. Les agent∙es concerné∙es de Lyon 2 seraient transférés à un prestataire et verraient leur activité profondément transformée. De fait, un transfert à des sociétés prestataires, mises périodiquement en concurrence, aurait des conséquences délétères sur leurs conditions de travail et d’emploi, sur la qualité du service rendu et sur les finances publiques. La sous-traitance des fonctions d’entretien condamne les agent∙es à rejoindre un pôle précarisé du salariat d’exécution dans lequel dominent bas salaires, emploi à temps partiel, horaires atypiques et exposition à des risques professionnels démultipliés. La pression sur les coûts se traduit par moins d’équipements de protection, des risques accrus de troubles musculosquelettiques (TMS) et le recours à des produits d’entretien bon marché exposant à des affections respiratoires. Les changements de prestataires se traduisent par des réductions d’effectifs, l’alourdissement de la charge de travail et des horaires toujours plus fragmentés qui désorganisent la vie familiale. Les agent∙es …

Déclaration d'intention d'utilisation des critères

Nous, membres de la promotion IET 2025, constatons que l'assemblée générale du 16 octobre 2025 n'a pas su décider collectivement l'application de critères prioritaires dans le processus de négociation des affectations de postes. Ce serait d'ailleurs la première fois que cela arrive depuis... 1906 ! Pourtant, nous sommes convaincus que se reposer uniquement sur une négociation individuelle n'est pas souhaitable, ni acceptable. En effet, de telles conditions ne prendraient pas en compte tout un panel de discriminations et d'inégalités, qu'il nous semble essentiel d'encadrer structurellement. Le cadre, tel qu'il a été voté en AG, pourrait mener à des situations personnelles inacceptables et invivables qui pousseraient certain.es collègues à abandonner le métier d'inspecteurice du travail. Malgré le vote de deux critères prioritaires l'année précédente, les deux rapports RPS montrent une forte augmentation de ces risques pour les IET 2024 durant la période de négociation. Imaginez donc ce que sera notre situation, si la négociation se déroule sans qu'aucun critère n'ait été adopté ?! Cette situation est d'ailleurs déjà source d'un stress immense pour certain.es de nos camarades. Or, en garantissant en amont l'encadrement des négociations de manière à prendre en compte les inégalités de situations existantes, nous pourrions a minima apaiser …

Appel aux partis politiques et mouvement de gauche à Périgueux. Municipales 2026.

Nous sommes effarés et amers qu’à l’échelle nationale la droite « radicale » soit plébiscitée par une majorité de nos concitoyens malgré ses mensonges, ses post-vérités, sa démagogie, sa xénophobie, les idées ouvertement excluantes qu‘elle promeut. Face à cela nous sommes déçus du manque de cohésion des partis de gauche. Nous appréhendons que cette incohérence se reproduise localement.Citoyens périgourdins, convaincus de l’urgence des questions sociales, humaines et écologiques, indépendants de tout parti, mouvement ou syndicat, issus pour certains du collectif citoyen formé lors des élections municipales de 2020, nous voulons retrouver autrement l’enthousiasme et l’espoir qui nous avaient guidés, l'élan que cela avait suscité, la dynamique que nous avions constatée.Nous apprenons que plusieurs listes de gauche seraient présentées lors du premier tour des élections municipales de 2026. Nous ne comprenons pas cette diversité de listes. Nous ne percevons pas clairement ce qui les distingue, ce qui justifie cette démultiplication.Troublés par cette division, parce que la politique fait toujours partie de notre vie, qu’elle l’organise, qu’elle nous implique, parce que nous sommes soucieux de l’avenir de notre ville, de ses projets de développement, du bien-être de ses habitants, de son adaptation aux changements climatiques, nous voulons jouer un rôle positif dans …

Test: Vegetables for broccoli game

Vegetables for the broccoli game As signatories of this letter, we form a collective of UniEarth staff who individually commit to the terms of the [Broccoli Game](https://letmegooglethat.com/?q=broccoli) movement. We join calls from vegetables organizations.We, workers at UniEarth, ask, as part of our broader solidarity with the world:(1) Carrotsand cabbage to be given to all(2) olive oil as the only oil to use

Pour la défense des droits des vacataires à l'UGA

Alors que le recours aux enseignant·es vacataires ne cesse de croître à l’université, les droits de ces travailleur·ses précaires restent encore trop souvent bafoués. C’est ce qu’a rappelé récemment une tribune publiée dans Le Monde et signée par des parlementaires, collectifs de chercheur·es, et organisations syndicales. Les vacataires perçoivent une rémunération à la tâche inférieure au SMIC horaire, sans véritable contrat de travail mais avec des contrats dits « de vacation », alors que leur travail est pourtant aujourd'hui indispensable au fonctionnement de l'Université. Ces travailleur·euses précaires sont très fréquemment contraint·es de commencer à enseigner sans contrat, et sont confronté·es des retards de paiement qui dépassent régulièrement les douze mois. Cette situation est totalement illégale, puisque la Loi de Programmation de la Recherche (LPR), votée en 2020, impose une mensualisation des salaires pour les vacataires à l'université. Face à cela, le collectif doctorant·es de la FERC CGT s'est engagé dans une campagne de recours juridiques pour mettre en demeure les employeurs et accompagner les vacataires souhaitant faire valoir leurs droits. À ce jour, six recours ont déjà permis le versement de 17 000 euros de salaires impayés. L’Université Grenoble-Alpes (UGA) n’échappe pas à cette situation, comme en témoigne un article …

La FST n'est pas un studio de cinéma géant - Contre la surveillance et pour la liberté

A la rentrée, suite à des dégradations matérielles ayant eu lieu durant l'été à la FST, le doyen a annoncé une réponse sécuritaire, faisant appel aux vigiles et à la police, et annonçant l'installation de 60 caméras sur le seul site de la FST. Il existe déjà 200 caméras installées sur l'ensemble des sites de l'UL, représentant un total de 568 vues. Le coût déjà dépensé pour la vidéosurveillance à l'UL est de plus de 1 million d'euros. Pour la FST, le budget alloué à la vidéosurveillance dans le plan de sureté est de plus de 300 000€. N'y a-t-il pas mieux à faire avec cet argent ? Au vu de l'austérité budgétaires imposée aux Universités (le budget 2025 de l'UL présentait un déficit de 15 millions d'euros, voir l'interview de la Présidente sur Médiapart, 2 décembre 2024), on est en droit de se demander si cet argent ne pourrait pas être mieux utilisé . Par exemple, en ne surbookant pas les salles de TP et les amphis ; en réparant et prévenant les fuites dans les plafonds ; en cessant la contractualisation précarisante de l'enseignement et de la recherche ; en embauchant plus de psychologues pour répondre à la …

Pour une manifestation en soutien à la Palestine en Valais

Face à l’extrême urgence de la situation en Palestine, au vu des récentes conclusions de la commission d’enquête de l’ONU selon laquelle "Israël commet un génocide contre les Palestinens à Gaza"1, nous voulons nous rassembler lors d'une manifestation pour dénoncer la passivité de notre gouvernement et exiger de lui des actions concrètes. Par son refus d'appliquer les mesures demandées par les plus hautes instances internationales, le gouvernement suisse se rend complice du génocide en cours. Le 15 septembre, le conseil municipal de Sion nous a transmis sa décision de refus à notre demande d’autorisation en vue d’une manifestation de soutien à la Palestine dans les rues de Sion le samedi 1er novembre. Un des motifs avancés est l'incapacité de la police municipale à garantir la sécurité du cortège. Cet argument n'est pas compréhensible compte tenu de la précédente manifestation en soutien à la Palestine à Sion, le 30 novembre de l'année dernière, qui avait rassemblé une foule pacifique, composée de nombreuses familles, et s’était déroulée sans encombres. Nous allons demander une reconsidération de cette décision qui est une entrave au droit de manifester. La Palestine mérite mieux que notre silence Nos autorités doivent savoir que nous sommes nombreuses et nombreux, …

Pour une alternative à Alan, pour un moratoire.

Nous, salarié·es de l'IMT, ne souhaitons pas adhérer à la Complémentaire Santé d'Alan. Nous sommes inquiets pour l'avenir de la prise en charge de nos dépenses et besoins de santé en cas de contrat avec Alan, car Alan est une entreprise à but lucratif, et son objectif ne sera pas notre intérêt mais son taux de profit (rendement exigé par ses actionnaires et financeurs), et sa capacité à lever des fonds. Nous craignons que cette start-up, déficitaire, fasse défaut. Nous ne souhaitons pas que nos cotisations et la contribution de l'IMT enrichissent des actionnaires (fonds de pension, capital-risque, ...) au lieu de servir à mieux nous rembourser ou à nous proposer de meilleurs services. Nous refusons que nos demandes soient traitées, sauf rares exceptions, via des applications numériques et des IA. Nous refusons également que nos données personnelles les plus sensibles, relatives à notre santé et à celle de nos proches, soient stockées chez Amazon, l’hébergeur d’Alan, donc soumises aux réquisitions des autorités états-uniennes. Nous demandons donc à la Direction de l'IMT de prolonger le contrat de groupe en cours avec Harmonie Mutuelle, et de prendre le temps de chercher des alternatives au rattachement au contrat de Protection Sociale Complémentaire …

Exigeons l'annulation de l'augmentation des frais d'inscription à l'ENS de Lyon !

Cette année, la rentrée a occasionné son lot de galères administratives et de difficultés financières. Un coupable : les frais d'inscription. En plus des frais de diplômes nationaux (licence et master), des centaines d'euros sont exigées pour obtenir le "diplôme de l'ENS", un diplôme qui n'a aucune valeur dans le système universitaire actuel, et ne sert qu'à créer artificiellement une "spécificité normalienne". Cette hausse des frais a été actée de manière antidémocratique par la présidence de l'ENS en juin 2025 dans un contexte global d'austérité budgétaire et de désinvestissement de l'État dans le service public, et sur le modèle des écoles de commerce et d'une privatisation de l'enseignement. La nouvelle réforme a fait exploser les frais d'inscription : un minimum de 800€ est exigé aux élèves (tarif antérieur : 213€) et 1500€ aux étudiant.es étranger.es. Une hausse scandaleuse qui aura un impact assuré sur la présence d'étudiant.es étranger.es dans l'école. La communication autour de l'existence d'une commission d'exonération pour les faibles revenus est désastreuse, laissant sur le carreau nombre d'étudiant.es, ou exigeant de certains des confidences sur la nature de leur relations familiales. En plus des étudiant.es, la réforme impacte sévèrement les conditions de travail des personnels BIATSS dont les …

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